Déranger les voisins sous les plus beaux lever du soleil.
Coloré les rideaux avec les résidus d'hier soir.
J'ai entendu qu'avec toi, l'hiver passait comme un bateau à voile sur les courrants coulants des vagues de vent.
Dérangez-moi pas avant minuit, que le temps se déchire avec l'ivresse et que l'été se remette de se propre défaite. J'ai trampé mes aventures dans tes avenues nouées, j'ai planté mon drapeau sur les crocs du moment et j'attends toujours la bonne réponse pour savoir si c'est tout dans ma tête ou si c'est réellement vrai.
Les perles de pluie, le ciel. La fiel, l'emmêlement d'hémérocales et d'ailes d'oiseau. Le miel et l'honnête point euphorique de l'utopie que tu me fais vivre. Les filaments, les perditions. Les périodiques spasmes, les verres de larmes et les transes tropiques.
Des rangés de vies rangeant les devises
dans les dossiers du vide et leurs propres corridors.
L'inssaisissable paix reconstruit son palais
comme un château de sable sur une plage sans eau.
Le tierse d'une seconde a passé et l'Univers vennait de rennaître dans les ovules intercidérales de ton ventre.